Vingt-cinq bonnes raisons de ne pas lire Infemmes et sangsuelles, de Frédéric GAILLARD

Vous n’aimez pas lire.

L’auteur n’est pas une femme, il n’y connaît donc rien sur le sujet.

Les deux grosses fautes d’orthographe dans le titre dénotent de grosses lacunes en français auxquelles s’ajoutent un manque de relecture et un énorme  laisser-aller éditorialiste. Si le reste du livre est à l’avenant…

L’auteur n’a pas dépassé la classe de troisième, l’a même redoublée,  et voudrait nous faire croire qu’il l’a écrit lui-même ! On le soupçonne d’employer au noir des mots dont il ne connaît pas le sens. D’ailleurs on en retrouve à l’intérieur du livre qui n’existent même pas !

La couverture ne comporte pas de bandeau rouge « Le livre du siècle ».

Pour le même prix vous pourriez passer une excellente soirée au ciné devant le dernier blockbuster de la Warner. Seul mais avec des pop-corn et un coca…

Vous êtes de la famille ou un ami de l’auteur, et ça fait 5 ans qu’il vous gonfle avec ça, alors maintenant, STOP !

C’est du grand n’importe quoi, ces histoires ! à l’image de ses 3 premiers livres…

L’auteur s’est fait tellement peur en écrivant qu’il a failli ne pas finir certaines de ces histoires.

Ses phrases font plus de 3 mots.

Il se sert honteusement de la plume d’une auteure de talent pour se faire mousser dans la préface.

S’il dépasse les 100 exemplaires vendus, il va se la péter grave…

Son précédent livre n’a pas obtenu  le prix Nobel de littérature.

Aucun animal n’a été maltraité durant l’écriture de ce livre.

Névrosées, arrivistes, tordues, colériques, misandres, quelle vision des femmes a donc l’auteur !

Vous attendez la traduction en vieux français.

Le recueil ne sera pas au programme du bac 2017.

Il n’est pas édité chez Galligrasseuil.

Laurent Ruquier et Yann Moix n’en ont pas parlé.

L’auteur est dans le dictionnaire. Des noms communs.

L’auteur est soupçonné de collusion avec le monde des ténèbres et aurait été aperçu certaines  nuits de sabbat dansant nu sous la lune, dans le cimetière de la ville où il réside, en compagnie de silhouettes fantomatiques.

Ça l’inciterait à en écrire un autre.

Vous vous êtes reconnu/e dans un des personnages. C’est voulu. Chacun va retrouver  dans les personnages ses propres démons. A déconseiller aux âmes sans cible.

Vous attendez les adaptations de France Télévisions avec Marius Colucci, Marilou Berry et Marion Game.

Ce sont des nouvelles et vos ne lisez que des romans. La nouvelle est un sous-genre de la littérature pour écrivains fainéants en manque d’inspiration et de talent.

L’auteur ne sait pas compter.

http://lune-ecarlate.com/produit/infemmes-et-sangsuelles/

(tiré du Best-Seller intitulé 250 bonnes raisons de ne pas lire Infemmes et Sangsuelles, de Frédéric GAILLARD – à paraître)

Et vous pouvez trouver de vrais avis sur ce recueil ici :

http://vieufou.unblog.fr/impressions-sangsuelles/



Nothomb, Devogel et moi…

Qu’est-ce qui relie Amélie Nothomb, romancière contemporaine à succès, Victor Devogel, un écrivain belge de la fin du 19e siècle, dont je n’ai pratiquement rien trouvé sur internet, et moi ? Pas grand chose, me direz-vous…

Le point commun entre nous trois est pourtant d’avoir été lus et chroniqués par Julien Noël, mon ami  poète, nouvelliste, sorcier, professeur, graveur, relieur, chroniqueur, tavernier, vlogueur, belge (ce qui ne gâte rien) et j’oublie certainement quelque talent caché dont il ne nous a pas encore gratifiés.

Bref, il a réuni dans une chronique vidéo ces trois univers littéraires qui ont peuplé ses lectures au cours du mois d’août. Julien et moi partageons, outre une passion pour les univers de l’imaginaire, une complicité qui nous pousse à nous envoyer des clins d’oeil littéraires : un de ses poèmes, Poisson d’avril,  a été inspiré par ma nouvelle « Le diable et la diva », et m’a été dédicacé, suite à quoi je me suis amusé à mettre en musique un autre texte, Dansons à la lune gibbeuse, édité avec le premier l’an dernier aux éditions Stellamaris dans un recueil de poèmes au titre évocateur, Contes du sabbat et autres diaboliques amuseries, titre ne laissant planer aucun doute sur le contenu de l’ouvrage mais assez mystérieux pour ouvrir le champ des possibles à notre imagination.

Puis, je me suis amusé à reprendre en exergue de mon recueil de nouvelles quelques vers d’un autre des poèmes de son recueil (lui en faisant à mon tour la surprise), et le mois dernier, à l’occasion du Ray’s day, Julien m’a demandé d’écrire la préface de sa nouvelle La main de gloire, ouvrage qu’il a créé, illustré et relié de ses petites mains en une bonne vingtaine d’exemplaires.

Voici donc la chronique que Julien a enregistrée suite à sa lecture de mon recueil. C’est la première chronique vidéo d’un de mes ouvrages, et j’attendais avec une certaine impatience (et un certain trac aussi) le retour de mon ami sur mon travail. C’est donc fait, et je peux enfin souffler… Julien a réussi à mettre l’accent sur certaines faiblesses de mon écriture, tout en étant très juste dans son analyse. Et, satisfaction ultime, il a apprécié sa lecture…

La chronique commence à 10’00 :

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5e Salon des auteurs de Chatuzange le Goubet

L’association ACEAA « Les Compagnons de la plume » organisait ce dimanche à Chatuzange le Goubet (dans ma Drôme) le 5e salon des auteurs, salon qui se tient tous les deux ans depuis 2008. Le thème de cette année était la littérature jeunesse mais tous les genres y étaient représentés.

5e Salon des auteurs de Chatuzange le Goubet dans 2 - Vieufou en vadrouille

 

L’occasion d’y retrouver quelques auteurs déjà croisés auparavant, et de faire de nouvelles connaissances parmi les 70 auteurs présents.
La manifestation était parrainée par le drômois Bérik, 4e dessinateur à reprendre le flambeau de la BD Sylvain et Sylvette, flambeau qu’il porte depuis 2001.

Plusieurs mini-conférences étaient organisées tout au long de la journée, dont une rencontre-dédicace avec Bérik, et une rencontre avec une jeune auteure de… 12 ans, à la recherche d’une maison d’édition, venue présenter sa création.

Environs 300 visiteurs ont bravé la pluie pour venir faire un tour au salon et discuter avec les auteurs.

C’est l’occasion pour moi de remercier Karo, qui m’a nourri, hébergé, véhiculé et servi d’attachée de presque et de photographe en ce tout début de matinée.

 dans 2 - Vieufou en vadrouille

L’occasion de revoir mon topain Serge Sommer, de nous taper encore quelques fou-rires. (avec notamment  une histoire de doigt tirée d’un célèbre film nul… ou le remake improvisé d’une chanson de Michel Gerber), et de faire quelques photos ensemble

« Je m’en irai vomir tout mes brocolis blan-ancs

dont la sauce est si grasse qu’elle fait tomber les den-ents… »

on la sent bien, là, la complicité ?

là, peut-être, alors ? Non, toujours pas ???

L’occasion aussi de remercier Sylvain (sans Sylvette) pour être reparti avec mes deux trips aviaires en poche, Le petit oiseau va sortir et Du plomb dans l’aile, ainsi que Patrick, heureux acquéreur de Jeux de dopes et de mon recueil, Infemmes et sangsuelles, que je présentais pour la première fois sur un salon.
Un grand remerciement aux quatre ou cinq autres personnes qui se sont arrêtées à mon étal, ont feuilleté mes livres et pris le temps d’entamer la conversation.
Chaque rencontre est richesse.

Un grand merci également à Laurent Bret, que j’avais rencontré sur le salon de Beauchastel en mars, et qui organisait cette journée au sein de l’association ACEAA (et y participait en tant que dessinateur – l’affiche, c’est lui…), ainsi qu’à tous ceux qui ont permis que cette journée se déroule au mieux !

Un merci à tous les curieux que ce salon aura attiré sur mon blog, promenez-vous-y à votre guise, et si vous voulez commenter ou commander, ce sera un plaisir d’avoir de vos nouvelles (et de vous donner des miennes)

J’ai pu faire la connaissance de plusieurs auteurs, en particulier celle d’Annette Leloup, qui présentait ses deux romans, et de Claude Chalabreysse, écrivain-voyageur, en face de qui j’étais placé, et avec qui j’ai pu échanger quelques instants, au sujet de nos séjours respectifs en Turquie.

 

Caro a succombé à la tentation d’Annette et de Zakanf’t

(f’eft pas fafile à prononfer…)

Toutes mes excuses aux quelques personnes qui n’ont rien compris à mes euphorismes (que je distribuais gracieusement à tout le monde). Il est sans doute vrai que certains ne font rire que moi…

Pour ceux d’entre vous que cela a intrigué, au dos de la petite bandelette (qui n’était pas urinaire…), il y a l’adresse où lire les autres (sur ce blog, page Douze euphorismes).

Les quelques photos ci-dessus ont été piquées aux potos sur Facebook !

Je crois que je vais me réserver une place pour 2018…



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