De lointains rêvages en finale

Bonjour z’à tous !

Comme pour Infemmes et sangsuelles il y a deux ans, mon recueil « De lointains rêvages« , paru chez Rroyzz éditions, illustré par Vaël Cat et préfacé par Frédéric Livyns, a franchi le premier cap du prix Masterton et se retrouve en finale, face à « L’amour, la mort et le reste« , premier recueil de nouvelles de Bruno Pochesci, et Alexandre Ratel pour « Ainsi vont les morts« .

Joie je suis ! Un grand Merci aux membres du jury !

Je salue mes deux co-voyageurs, et leur souhaite bon vent jusqu’à l’arrivée, 

Sont également en finale dans les autres catégories : 

Romans francophones

  • Edouard Brassey : Anonymeus, Apocalypse, Pygmalion
  • Sarah Buschmann : Sorcière de Chair, Noir d’Absinthe
  • Emmanuel Delporte : Biocide, Otherlands
  • Catherine Dufour : Entends la nuit, L’Atalante
  • Delphine Schmitz : L’Amérique de l’étrange, Séma

Romans étrangers

  • Ezekiel Boone : Eclosion, Actes Sud (traduit par Jérôme Orsoni)
  • Adam Sternbergh : Population 48, Super 8 (traduit par Charles Bonnot)


Poétique retour de lecture

Un retour de lecture de mon recueil, reçu par mail, qui me fait chaud au cœur.

« Bonjour Frédéric,

Si j’ai tardé pour te présenter mes meilleurs vœux (ce que je fais par la présente), c’est que je me suis offert pour mon petit Noël, ton recueil de nouvelles « Infemmes et sangsuelles », et je ne voulais t’écrire avant de l’avoir terminé. Non  qu’il ait fait long feu, mais j’ai été pas mal occupé en ce début d’année.

Concernant ton ouvrage, je l’ai dévoré en trois nuit, et je l’eus lu (pas lulu) en une seule s’il ne m’eut fallu dormir un peu. Chaque mot passant  appelant le suivant, si je n’y eus mis le Horla, j’en eus mangé jusqu’à la couverture. Je ne pourrai plus après cela boire un Coke en terrasse, même light, sans craindre de me faire mordre par un sac à main.

Le « Péché d’argile », à travers ta prose prospère, mais rimée (parfois), m’évoque une certaine Venus d’Ille, tandis que venus d’îles imaginaires, tes pirates mangés des vers ne me verront plus jamais dans un Lavomatic !

Un grand bravo, et merci pour ce moment d’évasion aux confins de l’imaginaire.

Amicalement.

Philippe ROUBAL. »

J’avais eu le plaisir de partager la table de cet auteur d’anticipation (Le cerveau lisse – Où allons-nous la nuit ?), rêveur lucide, à la convention de SF de Grenoble en 2017

Bonne année Philippe, avec toute ma gratitude



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