Vos impressions

à propos de « Loup, y es-tu? » dans le recueil « Histoires de… loups-garous » aux éditions Lune écarlate

J’ai beaucoup aimé cette nouvelle. On y retrouve bien un loup-garou. On n’a pas d’explication longue et sans importance sur la manière dont il l’est devenu. Et puis c’est un loup sympa. L’histoire se passe à notre époque, et l’homme qui se transforme n’oublie rien de sa vie d’humain, ni de ses nuits sous forme de loup. Du coup, lors des pleines lunes, le loup agit pour exercer sa vengeance, de manière intelligente (même si je ne cautionne pas le meurtre).

C’est aussi le texte qui m’a le plus fait rire avec son : « dans l’attentat de ce qui semble être un groupe bioterroriste d’ultragauche sur une porcherie expérimentale ». Personnellement, je ne considère pas que libérer des milliers de porcs puisse être considéré comme un attentat. Je dois quand même reconnaître que l’explication qui suit explique correctement les conséquences que pourrait avoir l’introduction de porcs génétiquement modifiés dans la nature. Enfin quand même, de là à parler d’attentat…

par Ty Bel, sur le blog « le Weyr de Ty »

Cette nouvelle est vraiment sanglante, on peut le dire.
C’est celle que j’ai le moins aimé. J’ai eu du mal à saisir où l’histoire voulait aller. On y retrouve des thèmes d’actualité comme les OGM, l’agriculture en danger, etc. Le loup est un être vengeur, ce qui va à l’encontre de l’image habituellement véhiculée.

par Psychée Délik

A la lecture de « Loup y es-tu ? » comment ne pas penser aux sketches horrifiques que l’on peut découvrir dans les Comics du genre « Tales from the crypt ». Je ne sais pas si la volonté de l’écrivain fut de porter un relief particulier à un contexte littéraire aussi codifié que le thème « imposé » ; la lycanthropie ? mais j’ai trouvé son imprégnation du sujet particulièrement savoureuse. Dois-je décrire tout le matériau conceptuel engendrant une exploration de ce monde ? que nenni, la forme de la Nouvelle ne permet pas cet approfondissement. Alors j’admets spontanément du grand divertissement que j’eus à sa lecture. C’est par la voie de l’action non-stop et d’une adrénaline soufflant le chaud et le froid que ma satisfaction s’anima. L’avancé des évènements captiva prestement le besoin de savoir comment tout ça finira. La survie de la créature ne se justifie jamais par la contrariété d’une dualité psychologique ; entre sa part d’humanité et sa part d’animalité, et c’est tant mieux. La force du récit se réalise par le mouvement perpétuel et sauvage d’un esprit qui n’agit que par instinct. Dans la nécessité d’équilibrer les proportions structurales du récit, le chemin emprunté par la bête reste particulièrement cohérent. La grande surprise provient d’une dynamique pure justifiant le style de Frédéric Gaillard, un label de qualité assouvi dans un rythme effréné. Sans énoncer les caractérisations comportementales du loup-garou, jamais décrites comme telles dans le texte, l’auteur sous-entend ses spécifications morphologiques. De même la monstruosité des actes de destruction (mortels et matériels) n’est pas gratuite, elle sert intelligemment le suspens.
En agissant selon un ordre méthodique des descriptions des actions et interactions de son « loup », le Nouvelliste lui donne une conscience intacte. Sa bête mythologique assume ses actes et tel le narrateur de ses « exploits » parvient à les retracer sous la plume du romancier. C’est là que se trouve l’originalité de ce court texte que je vous conseille de lire sous le regard de la pleine lune.

André Philippe, sur Facebook

à propos de « Jeux de dopes » aux éditions Zonaires

Le tour de France ne m’a jamais passionnée, je l’avoue, pire, l’épreuve me laisse chaque année de bois ! Par contre, je n’ai manqué aucune des étapes de cet hilarant tour de l’hexagone que nous a concocté Frédéric Gaillard. J’en suis restée les jambes coupées… de surprise devant les péripéties délirantes de cette épopée sportive, j’ai pris un sacré coup de pompe à force de rire aux éclats. Quoique, par instants, relâchant la pédale, je me sois interrogée, avec un frisson : « Mais il y a un fond de vérité dans cette dystopie, on ne nous dit pas tout mais que ne serait-on pas prêt à faire au nom de la performance? » Je n’en dirai pas plus pour ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte. Commandez Jeux de dopes et en selle…(non, la selle peut s’avérer dangereuse !) en avant, donc, pour un voyage plein de surprises !

Danielle Akakpo, sur Zonaires.com

« Jeux de dopes » est excellent. L’esprit voltairien et aussi celui de Rabelais ne sont pas loin ! Gaillard a un style du même nom que le sien. Je me suis régalée. Et puis c’est un texte bien documenté sur le monde de la dope ! Un humour déconnant et jouissif. Bravo !

Marie-Thérèse Jacquet, sur Zonaires.com

Une dystopie totalement déjantée, comme l’a voulue l’auteur, que le monde du cyclisme inspire, dans cette histoire, au moins autant que ses plus habituels thèmes de prédilection — c’est pourtant un effroi bien réel qu’il distille tout au long de ce Tour de France glaçant dont certaines étapes ne sont pas sans rappeler certaines pages de L’écume des Jours (je pense à l’enterrement de Chloé) : de la belle écriture, comme toujours chez Vieufou, une gourmandise de Noël à ne pas hésiter à (s’)offrir !

Emmanuelle Cart-Tanneur

Un bouquin totalement déjanté, un comble pour une histoire de cyclistes ! Juste ce qu’on aime chez Fred et, comme ses coureurs, on en redemande.

Lagopède, sur le forum Mda

Frédéric Gaillard s’empare de la légalisation du dopage, vieux serpent de mer de quelques-uns, et pousse la logique jusqu’au bout dans une nouvelle loufoque et, qui sait, visionnaire. Il a bien compris que légaliser le dopage revient à le rendre obligatoire puisque tout espoir de réussite serait vain pour qui voudrait pratiquer son sport sainement. Une fois ces rares mais nocifs sportifs à l’eau claire ayant été chassés, tels Christophe Bassons chassé par Lance Armstrong, le Tour de France de la dope peut s’élancer sous les vivats de la foule en délire, au premier rang desquels figurent sans doute les anciens fans de Richard Virenque ou de Laurent Jalabert. Avouons-le, le Tour que nous décrit Frédéric Gaillard est infiniment moins ennuyant que celui que nous propose chaque été France Télévision à l’heure de la sieste. Il fait franchement envie et on rigole (jaune, bien entendu).

Que les partisans de la lutte antidopage qui se font un max de fric grâce à elle (comme nous) se rassurent. L’auteur a aussi prévu le maintien des contrôles, cette fois pour détecter et sanctionner sévèrement les sportifs non dopés. Qu’il en soit ici remercié. Si sa prédiction prend forme, nous pourrons lancer un www.cyclisme-eauclaire.com et continuer à vivre grassement au soleil de Tahiti. Quant à vous, nous vous conseillons la lecture de Jeux de dopes, une lecture parfaite pour vous changer les idées entre Rolland Garros, Euro de foot, Tour de France et Jeux Olympiques.

Stéphane Huby, sur cyclisme-dopage.com

à propos de « Necronomignon » dans Clair/obscur n°13

« …un sombre et magnifique hommage à HP Lovecraft… »

sur le blog Clair/obscur

Coup de cœur de mon côté pour « Nécronomignon », de Frédéric Gaillard, qui, en dépit d’une trame narrative quelque peu classique, réussit, entre autres par la force d’évocation de sa plume, à créer un univers et une histoire immersifs : « Je ne sais combien de temps je restai ainsi, inerte, balloté par les courants, insignifiant jouet tombé entre les mains d’un Neptune chahuteur ». Les malheurs de Nicolas, surnommé « Nécronomignon » à cause de ses déformations labiales, sont ainsi poignants (et comme le récit est long, à l’instar de presque tous les textes au sommaire, les mésaventures de l’enfant sont d’autant plus prenantes).

Ariane Gélinas – Brins d’éternité n°41

Ce récit aborde une situation très « Frankensteinienne » à la sauce Lovecraft. Le personnage principal, Nicolas, ironiquement surnommé Necronomignon, vient au monde avec des particularités physiologiques peu esthétiques qui lui vaudront bien des soucis en société. L’auteur nous fait partager sa solitude et sa colère avec un style efficace. Et égratigne au passage la religion, il est bon de le souligner !
Cancereugène, sur son blog « L’antre de Cancereugène »

à propos de « Du plomb dans l’aile » chez JFE

Humour sur fond de drame animalier pour cette nouvelle dans un monde particulièrement volatile. Un texte étonnant, aventure initiatique au sein d’un flux migratoire ailé. Même les pious ont du sang sur les ailes. Tiiit.

(présentation de l’éditeur)

J’ai reçu ce matin Du Plomb dans l’Aile, et j’ai dégusté ! Joli bouquet de saveurs métalliques

Thaïs, sur le forum Mda

J’ai dégusté, le temps me le permettant, Du plomb dans l’aile au petit déj’, et je m’en lèche encore les doigts Mr. Green Ce nouvel opus de notre Vieufou national est conforme à son talent : imaginatif, fluide et original… On en redemande ! Okay N’hésitez pas… goûtez-y !

Pollux, sur le forum Mda

Mes Mrrraws » ont guetté la chute en se léchant les babines ! Et moi, je me suis régalée.

Mamléa, sur le forum Mda

Un fort agréable moment en compagnie de Pious et de Tiiiits adorables !!! Le style est fluide, agréable avec de jolies formules !!!! Après l’avoir apprécié, j’en ai lu les premières lignes à mon fils de 11 ans qui m’a ensuite piqué le livre pour continuer tout seul…

Ptit Lu, sur le forum Mda

J’ai gagné ce petit livre grâce au concours du calendrier de l’avent organisé par Bookscritics. Merci.
Ce n’est pas du tout mon style de lecture, mais il m’a permis de m’évader comme les oiseaux migrateurs tellement qu’il est prenant, il y a une bonne et grande description.
On arrive à suivre ce petit oiseau sur son nichoir, avec les sans-ailes (ça m’a fait rire cette description) et avoir une petite larme quand il s’envole.

Jessica, dans La vie en lecture

à propos de « Cet indéfinissable charme » dans Horrifique n°110

Cet indéfinissable charme de Frédéric Gaillard… ou quand la drague en boîte de nuit se termine en engagement pour une éternité de… bref, évitez de trop picoler, mesdames, ça vous évitera bien des ennuis…

Bob Cancereugène, sur le blog L’amorce est bien

à propos de « Le petit oiseau va sortir » chez Zonaires éditions:

j’ai lu « le petit oiseau… »,en mangeant du poulet avarié et en buvant du gin.Et depuis j’attends… Si vous ne l’avez pas lu ,lisez la. Si vous aimez Leandri, ben lisez la.C’est pas du Leandri,c’est du Fred et c’est bien aussi

mon comparse Yo, sur ce blog…

Je ne suis pas certaine d’avoir de l’appétit devant le prochain poulet qui se présentera dans mon assiette. Le brio de cette nouvelle m’a fait penser à « L’amateur d’escargot » de Patricia Highsmith, pour le fantastique en prise directe avec la réalité. Que voilà un suspense bien mené, écrit d’une plume vive et acérée! Faites lire « Le petit oiseau va sortir ».

Jacqueline Dewerdt, sur Zonaires

Ecrite d’une plume alerte, avec quelques coups de bec adressés non sans humour aux dérives de la société d’aujourd’hui, l’excellente nouvelle de Frédéric Gaillard se lit d’une traite, avec une ardeur mêlée de cette peur délicieuse qui vous fait tourner les pages très vite, parce qu’on veut absolument savoir comment elle va se terminer, cette histoire, comment le héros va s’en tirer, comment tout cela va mal finir…

De même que le spectateur se demande, cramponné à son fauteuil, en quelle sorte de monstre va se transformer Seth Brundle, héros de La mouche, de David Cronenberg, ou bien attend de découvrir, fébrile, face à l’écran, comment James Bond, embarqué dans un piège diabolique, va bien pouvoir s’y prendre pour se tirer des griffes de l’effrayant Docteur No, de même, le lecteur ne peut lâcher la trajectoire du héros de Frédéric Gaillard tombé, bien malgré lui, dans de drôles de serres. L’auteur part d’une situation triviale – un type mange un dimanche soir dans sa cuisine un poulet qui dégage une odeur un peu avancée – pour déployer au fil des pages un univers fantastique, et lui donner des ailes. Le lecteur devine, dès la première page, que l’auteur a placé dans les entrailles de son poulet une bombe à retardement, mais il ne sait pas comment elle va exploser. Comme dans toute bonne nouvelle, il faut attendre la dernière page pour le découvrir. Envol garanti. Une nouvelle à lire et à offrir.

Désirée Boillot, sur Zonaires

Je viens de lire « Le petit oiseau va sortir » de Frédéric Gaillard. Je recommande à chacun d’en déposer au moins un exemplaire au pied du sapin, destiné à une personne à qui l’on veut du bien. Décoiffant !

Yvonne, sur  Zonaires

je n’ai rien à ajouter aux commentaires élogieux qui précèdent, sinon que je les partage; jusqu’à la dernière page, je me suis demandé comment cela allait finir; mais chutttt…. Laissons les futurs lecteurs sur des charbons ardents!

Claude Bachelier, sur Zonaires

Reçu hier – et lu hier ! Que dis-je, lu ? Dévoré !!

Et je me suce encore les doigts (si j’ose dire) avec cette croustillante histoire, agrémentée de la sauce piquante la plus délicieuse qui soit – mais qu’attendre d’autre du maître queux (si j’ose dire) de la nouvelle qu’est notre Vieufou national (et même local pour moi, et j’en suis fière !) On y retrouve tout ce qui fait son style : jeux de mots métaphoriques et allusions bien choisies, maîtrise des phrases longues (mais oui, on les aime, et on en redemande !), crescendo de l’ambiance… Depuis le début on sent venir le drame (pour le héros, et le régal pour nous), et la suite est à l’avenant, avec la description de cet univers à la Hitchcock (tiens, des oiseaux, encore !) sans qu’aucune goutte de sang ne soit pourtant versée… Un conseil, à l’unanimité de moi-même (et de tous mes doubles maléfiques Evil or Very Mad Mr. Green ) : LISEZ LE PETIT OISEAU VA SORTIR !!!!!

Pollux, sur le forum MDA

Je viens de terminer la lecture de la longue nouvelle de Frédéric Gaillard, et j’ai été immédiatement embarquée dans cette histoire qui rapporte le processus d’une métamorphose et qui fait passer progressivement le lecteur de l’inquiétude, à la terreur et au dégoût. Tout y est distillé avec une maîtrise telle, qu’on ne peut que continuer à tourner les pages pour savoir jusqu’où ira l’horreur dans cette fascinante fable. Bravo Vieufou, pour ce texte qui ne laissera personne indifférent et qui aborde le thème de la métamorphose. Ce thème, qui a depuis des siècles été source d’inspiration pour grand nombre d’auteurs, d’Ovide à François Morel, en passant par Kafka et Marie Darrieussecq… entre autres, est traité ici sous un angle original et le récit devient particulièrement effrayant, sans doute en raison de cet humour noir et grinçant dont l’auteur a le secret.

Janis, sur le forum Mda

J’ai lu avec un grand plaisir « Le petit oiseau va sortir » et puis je me suis envolé…

Joël H., sur le blog Mot compte double

J’ai pensé un instant que Frédéric allait plagier Kafka et sa « Métamorphose ». Que nenni ! Cette nouvelle est une satire sociale confondante. Lisez vite ce qui peut nous arriver si on laisse faire les apprentis sorciers qui entendent nous gaver d’OGM issu de la farine animale et surtout celle de poulet. On rit en grinçant du bec, pardon des dents. Bravo l’artiste.

Jean Calbrix, sur Zonaires

Je l’ai lue, moi aussi, cette longue nouvelle. Bien sûr, comme toute petite fille à nattes qui se respecte ( zut, c’est vrai, j’ai coupé mes nattes … ) j’ai eu des frissons. Bon, tout a été dit, ou presque ( j’avais qu’à la lire plus vite ! ) mais je crois que l’originalité ( et la réussite ) de l’histoire vient aussi du fait qu’on a l’impression que c’est vrai : c’est à dire que tout s’enchaîne avec logique et réalisme ( si je peux utiliser ce mot ) : comme si on avait pénétré dans une autre dimension tout en restant bien ancrés dans la nôtre. Du coup, c’est d’autant plus efficace et le frisson est d’autant plus long, profond et douloureux … C’est une chouette colllection, la collection lapidaires de Zonaire. Bonus : une couverture très sympa. Bravo Vieufou pour ce chouette moment de lecture !

Tonina, sur le forum Mda

Il y a du Kafka chez l’ami Fred, un Kafka certes déjanté, plus cru, plus organique mais la logique du récit fonctionne pareil et on n’en sort pas plus indemne. A tel point que, si j’ai dévoré sans broncher son histoire de poulet daubé, je ne suis pas sûr de ne pas me surveiller dès ce soir face au miroir. On ne sait jamais…

Lagopède, sur le forum Mda

Un grand plaisir de lecture mais ce matin, au petit dèj, j’ai eu du mal à déguster mes graines de millet…

Ma, sur le forum Mda

je vais avoir du mal à manger certains aliments, dorénavant ! Eh oui, je viens de terminer la longue nouvelle (ou novella comme disent les Américains) de Fred (Vieufou) et j’ai été secouée, conquise, dégoûtée… Une belle salade de sensations, sentiments et de réflexions qui prennent vie sous la plume de l’auteur et vous change un lecteur ! L’histoire m’a attrapée au vol dès les 1ers mots et ne m’a lâchée qu’au point final ! C’est noir, angoissant, pimenté d’humour, un brin décalé. Bref, c’est excellent ! Mr. Green Une seule recommandation : ne pas le lire avant de passer à table si vous avez prévu de servir du poulet, du canard, de la dinde… Okay

Ptitlu, sur le forum Mda

Quelle horreur délice : bravo ! Ouf… j’ai bien digéré ma pintade de Noël !

Mamléa, sur le forum Mda

Une nouvelle qui donne du plomb dans l’aile et que je ne suis pas prête d’oublier. À lire chez Zonaires Editions, toutes affaires cessantes. Enfin pour ceux qui n’ont pas peur de s’envoler !

Elodie Lécrit (Elodie Torrente) sur Fb

“Le petit oiseau va sortir”, c’est le fantasme horrifique dans toute son ampleur. Où la métaphore est au pied de la lettre, et le littérale est imagé. Le tout drapé dans un humour délicieusement noir (et surtout sans sucre !).

Léa, sur le blog Story-makers

 

à propos de « L »effet papillon » dans Dimension écologies étrangères:

« classique mais magnifique récit d’aventure »

Bruno Peeters, sur Phénix web

Dans la même optique, celle du fonctionnement d’un écosystème perturbé par l’action inconsidéré de l’humain, puis finalement réconcilié avec lui, « L’effet papillon » de Frédéric Gaillard se place un cran au-dessus, tant sa nouvelle frappe par sa simplicité apparente, son naturel (sic) et la promesse d’une évolution alternative au sortir d’une simili préhistoire…

Maestro, sur wagoo

à propos de « Le diable et la diva » dans Nocturne n°3 :

Le diable et la Diva de Frédéric Gaillard aborde d’une façon artistique, le sanglant, ou «gore» pour les intimes. Un texte aux personnages bien campés qui démontrent jusqu’où certains sont prêts à aller pour avoir le succès.

Martine Vignola, dans La horde geek

Il (le recueil) contient quelques jolies perles, comme Le diable et la diva de Frédéric Gaillard, qui amusera les amateurs d’opéra.

Bruno Peeters, dans Phénix web

Le diable et la diva fait partie de celles qui marquent le plus. L’histoire nous propose un pacte avec le diable qui tourne au cauchemar pour le diable, qui voit une vieille femme complètement dépendante de ses pouvoirs, au point qu’elle n’hésite pas à profiter de lui pour briller dans la société et devenir une diva que tous admirent.

Louve, sur le blog Les victimes de Louve

Avec un tel thème (griffes et décrépitude ndlr), le diable ne pouvait être que présent avec [...] une nouvelle de Frédéric Gaillard revisitant le mythe de Faust avec l’histoire d’une chanteuse ayant accédé à la gloire en en payant un prix terrible.

Stegg, dans Psychovision

à propos de Mimétisme, dans Géante rouge n°21 :

Court texte sympathique et efficace à la manière d’une tranche de vie d’un extraterrestre sur Terre. Une réflexion sur la notion de temps interspécifique.

Dulkera, sur Outremonde

Mimétisme” de Frédéric Gaillard est court, ce qui convient bien à l’histoire exposée. Un alien échoué sur notre planète fait le forcing pour être récupéré par les siens. Le traitement suit ici parfaitement l’idée. 4 pages jubilantes.

François Schnebelen, sur Yozone

à propos de « Here I stand and face the rain » dans Nocturne n°2 :

Mon coup de cœur de par la beauté de l’écriture qui atteint des sommets  dans un dernier paragraphe à la mise en scène sublime.

Fangtasia, sur le blog Truebloodaddict

Une histoire hors du temps, touchante et effrayante à la fois !

sur le blog Les chroniques de Madoka

Dans un musée, un gardien est confronté à d’étranges évènements. Un texte une nouvelle fois plutôt classique et jouant sur la corde sensible pour l’amateur d’art qui la lira.

Allan, sur le blog Fantastinet

Mon coup de cœur ou comment renouveler avec brio l’histoire classique de l’être qui s’échappe d’un tableau. Un régal pour le lecteur. Ce texte évoque un peintre très connu dans un style dramatique qui lui sied parfaitement.

par Philipe GOAZ sur le forum d’Outremonde

Coup de coeur !

par Neocobalt sur le forum d’Outremonde

Quelle imagination ! Un homme de 1893, pris au piège par son ami peintre, transformé en être à deux dimensions dans une toile. Il a vécu plus d’un siècle enfermé sous le vernis, exposé dans un musée à voir défiler des visiteurs sourds à ses cris de détresse. Cent ans plus tard, une nuit, une brèche dans le vernis lui permet de s’échapper. Et c’est un être de peinture qui va déambuler dans sa ville un siècle après… trop fort!

sur le blog Book en stock

Dans un musée, un personnage s’échappe soudain d’un tableau. Que devient cet être en deux dimensions et n’existant qu’à l’état de peinture dans un monde inconnu ? “Here I stand and face the rain” de Frédéric Gaillard répond au cahier des charges. On passe un bon moment, mais j’ai l’impression qu’il aurait pu aller plus loin dans son idée.

François Schnebelen dans la Yozone

 

Et si le personnage sujet du fameux “Cri” d’Edvard Munch sortait subitement du tableau, que se passerait-il ? Tel est le sujet plutôt bien traité par Frédéric Gaillard dans Here I stand and face the rain.

Bruno Peeters dans Phénix-web

Dans « Here i Stand and face the rain » de Frédéric Gaillard, il y sera aussi question d’une évasion, mais également d’une toile célèbre. On retourne ici au fantastique pur jus avec un texte qui semble être autant un hommage à une peinture très connus qu’une magnifique histoire triste. Un texte qui ne se lasse pas de surprendre le lecteur.

Stegg, dans Psychovision

Frédéric GAILLARD nous livre également une nouvelle fantastique (c’est d’ailleurs, si je ne m’abuse, son genre de prédilection). Elle s’intitule Here I stand and face the rain et se distingue avant tout par l’audace de ses références. […] on passe à une évocation contemporaine des rues d’Oslo. Dans ce décor scandinave, Frédéric mêle habilement la peinture d’Edvard Munch et la musique du groupe a-ha, reliant par-delà les décennies ces artistes compatriotes. Il réalise ainsi un pot-pourri étonnant mais que son histoire rend harmonieux, et en cela rejoint bien l’esprit du fanzine dont les thématiques de numéros consistent autant d’associations pas moins surprenantes. Ce récit exploite le motif éculé du sujet de tableau qui prend vie. Sa lecture n’en est pas moins un plaisir car il le traite magistralement, tant par son style que par la justesse de son évocation des rues encombrées de pluie et de tristesse. Seul défaut, s’il faut en mentionner un : l’on pourrait reprocher à ce texte un manque de rythme (il en allait déjà ainsi pour celui publié dans Encre et Ténèbres, comme je l’ai mentionné dans ma critique précédente), cependant cette lenteur s’accorde bien à ce qu’on imagine du désarroi d’un être en deux dimensions qui s’éveille hors de sa toile pour découvrir un monde ne ressemblant plus en rien au sien.

Julien Noël, sur le blog Journal d’un embryon d’auteur

Ma nouvelle coup de cœur. Dans un musée, un bruit. C’est un personnage qui est sorti d’un tableau, et pas n’importe quel personnage, celui d’une célèbre toile de Munch, Le cri. Cet homme ne comprends pas pourquoi il déteint sous la pluie, pourquoi il a un goût de peinture dans la bouche, pourquoi des voitures avancent sans chevaux. Cette nouvelle a tout du dessin animé, avec une pointe de poésie tragique. Une merveille !

Natiora, sur les Chroniques de l’imaginaire

à propos d »Un sang d’encre » dans Nocturne n°1 :

On passe un agréable moment avec cette histoire de vampire, qui taquine gentiment les écrivains.

Arya, sur le forum d’Outremonde

Dans « Un sang d’encre », Frédéric gaillard met en scène un bibliothécaire particulier, déjà parce qu’il garde ses manuscrits pour lui et ensuite parce qu’il a les canines un plus longues que la moyenne ainsi qu’une certaine soif de sang…

Dans cette nouvelle [...], l’écriture est un acte violent et il faut mettre de soi-même pour écrire, beaucoup de soi-même et de travail afin de convaincre les autres de la valeur de son travail, surtout s’il sont éditeurs.

Stegg, dans Psychovision.net

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L’histoire d’un éditeur étrange, qui semble immortel, gardien d’oeuvres majeures et d’amitiés précieuses. Il estime qu’il est temps de se trouver un remplaçant. C’est une nouvelle peu palpitante mais très poétique, qui se lit avec plaisir.

Natiora, dans Les chroniques de l’imaginaire

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Frédéric Gaillard dans Un sang d’encre donne une recette aux jeunes écrivains en panne de reconnaissance : alliez-vous à… Il y a du Faust dans cette belle nouvelle.

Bruno Peeters dans Phénix mag

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Il (le texte) repose en grande partie sur le portrait d’un personnage singulier et pas peu charismatique : un éditeur esthète et multicentenaire, qui se trouve être à la recherche d’un acolyte. Mon bon a priori concernant ce texte (je sais Frédéric très talentueux pour l’avoir souvent lu grâce au forum du cercle Maux d’auteurs et pour l’avoir publié dans le quatrième numéro de L’Orpheline aux yeux de feu follet) n’a pas été déçu. Son récit, intelligent tout en restant léger (c’est sans hésitation la nouvelle la moins pessimiste du numéro), se lit très plaisamment, même si je dois donner raison à Natiora qui, dans sa critique pour Les Chroniques de l’Imaginaire, déplore son manque de rythme. Cela dit, j’ai toujours préféré un texte original et bien construit quoiqu’un peu lent à un autre ne reposant que sur son suspens, faute de vraies qualités d’invention.

Julien Noël,dans Journal d’un embryon d’auteur

La cinquième nouvelle est signée Frédéric Gaillard. Le récit nous présente le Gardien, une créature ailée qui veille sur le savoir humain. L’action est plutôt ténue dans ce texte, assez lent en général. J’ai eu l’impression de lire le canevas d’une bonne histoire, qui serait à approfondir sous une forme plus longue. De plus, les dernières pages m’ont beaucoup moins intéressée.

Ariane Gélinas sur le blog Interférences

à propos de « Des souris dans le fromage » dans Lunatique n°77 :

Plus surprenant est le texte de Frédéric Gaillard, qui nous peint un Alien au pays des souris. Le texte est parfois un peu bancal, avec un changement de rythme déstabilisant, mais ça vaut le détour. Ces souris sont-elles bien des souris?

Patrice, sur le forum d’ActuSF

  à propos de « Que d’eau » dans Eclats de rêves n°6 :

Cinquième enseignement (l’auteur de la chronique exprime la volonté d’édifier le lecteur et de lui montrer ce qu’il ne faut pas faire. Pour cela, il dessoude allègrement plusieurs des textes du numéro) : si tu n’as pas d’idées, n’importe quoi tu n’écriras pas. Sans conteste l’histoire la plus « plus » du fanzine : la plus longue, la plus barrée, la plus tirée par les cheveux, la plus « free-style », la plus incohérente, la plus excessive, la plus freudienne, la plus dispensable, la plus incontournable. Vraisemblablement écrite d’un seul jet, peut-être sous psychotropes, sûrement sans l’aide de l’hémisphère gauche (siège de la raison et de la conscience analytique). Il s’agit d’une impossible histoire de lune envoyée par un trou noir éteindre le soleil sur fond de cataclysme terrestre. C’est inracontable et encore moins facile à critiquer. Si c’est du second degré, c’est génial. Sinon, c’est une daube sans nom.

Néocrate, sur le site Les vagabonds du rêve

  à suivre…



1 commentaire

  1. yo 25 novembre

    Guérison : Depuis le temps que je louvoie à ses côtés, je peux vous avouer qu’il m’est arrivé de le jalouser. Il m’est arrivé, aussi, de le détester. Et les deux étaient souvent complémentaires. Je veux parler bien sûr du talent de l’auteur. Et depuis les premiers pas du « Gaillard » à aujourd’hui ce talent n’attend qu’une chose pouvoir s’exprimer. J’ai lu « Guérison », en plusieurs fois, par petits bouts. Et j’ai aimé. J’ai aimé l’efficacité de l’histoire, même si le rythme reste classique, même si parfois j’ai pu me dire « je connais l’histoire ». Car le talent de l’auteur est là, dans cette faculté a se servir des vieux pots pour en tirer sa soupe. C’est bien écrit,(avec pas trop de mots compliqués pour mon faible lexique vocable) sans temps mort, le monde n’est pas si loin du notre avec des relents de « l’âge de cristal », « 1984″, et de cette drôle d’année 2020. Une bonne dystopie, qui se lit d’un bout a l’autre: par petits bouts ou bien d’une traite, c’est selon votre posologie. Avant de partir, juste entre nous mon Fredo, la prochaine fois la fuite de la clinique fait moi la en version longue. J’aurai aimé que cela soit moins facile.

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